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Oh,ils n'ont pas de pain? Qu'ils mangent de la brioche !▲ Marie-AntoinetteVoir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
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Reine de France...Mais aussi du Forum!

Marie-Antoinette
Marie-Antoinette

Messages : 73
Date d'inscription : 31/05/2014
Localisation : Trianon,échappée de cette cour infâme.

Votre Personnage
Côté Coeur:
Que pensez-vous du roi et de la reine?:
Metier: Regina

Oh,ils n'ont pas de pain? Qu'ils mangent de la brioche !▲ Marie-Antoinette Empty
MessageSujet: Oh,ils n'ont pas de pain? Qu'ils mangent de la brioche !▲ Marie-Antoinette Oh,ils n'ont pas de pain? Qu'ils mangent de la brioche !▲ Marie-Antoinette EmptyDim 1 Juin - 7:59


Marie-Antoinette J.von Habsbourg

-INSOUCIANTE REINE DE FRANCE -


Nom • von Habsbourg Prénom(s) Marie-Antoinette Josèphe Jeanne Date de naissance4 septembre 1791 Âge32 printemps,encore fraîche et attirante Lieu de naissance ou/et nationalitéAutrichienne adoptée par la Cour de France Métier •  Quelle question ! Regina AvatarKristen Dunst CréditElypse (moi) + tumblr

QualitésAmusante et insouciante,Marie-Antoinette aime rire et est optimiste.Elle ne se plaint que rarement mais aime faire des caprices enfantins.Elle est d'une beauté pure et majestueuse,innocente et douce pour ceux qui la connaissent.Elle est une mère attentionnée mais une épouse futile et de mauvaise compagnie. DéfautsMarie-Antoinette n'est pas une érudite,malgré les efforts de ses précepteurs et de ses nombreux maîtres.Elle est assez ignares et naïve,se laissant piéger et manipuler sans cesse.Marie est une fille peu charitable qui ne connaît rien de la vie de son peuple.La souveraine s'en contrefiche tant qu'elle à droit à vivre dans le luxe.Elle reçoit beaucoup de commande de robes,de chapeaux et d'autres futilités de Paris.Les dépenses qu'elles accumulent pendant la disette sont controversées.Elle est aussi vite infidèle à son époux.D'abord trop tendre et proche de la Polignac,elle se tournera ensuite vers le Suédois Comte Axel de Fersen.



Ce que vous pensez de la monarchieQuestion stupide,réponse stupide.Let them eat cake. Votre statut ( célibataire,en couple,marié,veuf,...)Mariée à un empoté de souverain.Maîtresse du quart de Versailles. Votre famille (frères et soeurs éventuels)Cinq frères et huit soeurs qu'ils serait long d'énumérer. Langues parlées et/ou écritesElle parle couramment l'allemand et pas trop mal le français.L'italien,le Latin et le Grec ne lui ont jamais réussis. AmbitionsCommander d'autres robes à la mode et peut-être organiser une nouvelle fête à Versailles



...HISTOIRE...


"Maria Antonia Josepha Johanna von Habsburg-Lothringen, archiduchesse d’Autriche, princesse impériale, princesse royale de Hongrie et de Bohême, est née en ce 2 novembre 1755.Longue vie à la princesse! "


Aux portes de Schönbrunn,les murmures s'élevaient comme la voix d'un seul homme.La voici donc,la quatorzième enfant de ces monarques intransigeants ! La Grande reçoit énormément de critiques de son peuple mais on sait combien elle est juste.Et on connaît ses bonnes relations avec l'élite européenne!L'époux de Marie-Thérèse n'est autre que l'Empereur Germanique.Les Autrichiens,le Prussiens ,les Hongrois,...Tous savent combien la chance du nouveau-né est immense.Elle est née avec une cuillère d'argent en bouche.Elle a déjà toutes les portes ouvertes et Oh! On va bientôt pouvoir la proposer en mariage comme ce fut le cas de ses soeurs aînées.Vendues sur le marché des beaux prétentieux à la bourse remplie d'or et de diamants.
La Grande est de mauvaise humeur.Il faut dire qu'elle en a assez de servir de mère à son âge.Trente-huit ans ! Quatorze bébés ! Pas un de perdu,le Ciel soit loué.Mais quel poid sur les épaules de cette Reine qui avait d'autres ambitions que de jouer les épouses parfaites et les entremetteuses!
Poussant un long soupir,elle détourne son regard du poupon que la sage-femme lui présente.Mara-Antonia est pourtant différente de ses soeurs.Déjà,ses petits yeux pétillent de malice.Et puis elle a ces pupilles azures...Cette peau de lait ! Et des cheveux presque blancs...
Mais peu importe,Marie-Thérèse s'en contrefiche.Elle sera élevée par les gouvernantes,comme tous les autres.La seule pensée qui réconforte la souveraine est de songer aux plans futurs de son bébé qui soigneront sa réputation.Une fille....Et dire que ses petits cousins de France viennent de fêter l'arrivée d'un nouveau garçon dans la famille il y a quelques mois.
_________________________________________

-Mais,rétorqua le Docteur de la Sorbonne,la future dauphine n'est sans doute pas ainsi,n'est-ce pas? Je suis certain qu'elle fera de grandes chose.

Devant le religieux français en habits sombres, La Grande,l'Impératrice Marie-Thérèse von Habsbourg,prend des airs contrits.Elle est sincère et ne souhaite pas déjà mentir à cet homme à peine arrivé sur le sol autrichien.

-Monsieur l'abbé Vermond,ne vous bercez point d'illusions.Ma fille est une petite sauvageonne plutôt qu'une princesse. Elle connaît à peine le français,lit et écrit l'allemand avec peine et se soucie fort peu du reste. Nous avons deux ans pour faire d'elle une dauphine dont nous pourrons être fiers.

Acquiesçant silencieusement devant des paroles aussi directes que vraies et sages,le religieux français fait quelques pas,en retrait de l'Impératrice.C'est alors qu'un grand vacarme se fait.La porte en chêne s'ébranle et claque violemment contre le mur tapissé de soie orientale.
Une silhouette frêle et petite bouscule le sofa au passage et court vers la Grande et l'abbé.Ne freinant pas assez vite,elle trébuche et atterri aux pieds du précepteur.

-Maria Antonia ! gronde Marie-Thérèse en allemand.Wie können Sie es wagen, sich vorzustellen, dass die Art und Weise?

Baissant les yeux,la frêle gamine de 13 ans à peine se relève et souris sournoisement en coin.Comment osait-elle se présenter ainsi? C'était pourtant simple.Elle avait complètement oublié la venue de cet instituteur français qui allait lui apprendre la langue ennuyeuse et compliquée de Molière.Elle était bien plus occupée par les différentes nouvelles que lui lisait sa soeur aînée.Il était précédemment question d'une lune de miel entre un jeune homme et une jeune fille dénommée Juliette.Pour travailler son anglais,l'aînée de Maria Antonia n'avait guère le choix.Mais elle s'attardait avec sa cadette à déchiffrer les passages normalement censurés aux jeunes archiduchesses autrichiennes.La jeune soeur de la future dauphine lui assurait qu'elle connaîtrait elle aussi un jour une romance et une passion fervente.Et dans les yeux de la jeune adolescente au corps d'enfant brillait alors le souvenir du portrait de son futur époux,le Dauphin de France.
Vermond observait avec curiosité le phénomène qui venait de lui arriver.La jeune Maria Antonia avait quelque chose de mutin dans les yeux mais aussi un port de tête hautain qui montrait qu'elle connaissait sa place et était consciente de ses charmes.Non qu'elle soit exceptionnellement jolie,elle possédait des yeux turquoises et des cheveux d'anges presque blancs.Loin d'être pourtant aussi angélique que son apparence,elle ne se préoccupa même pas de son nouveau précepteur.Lorsque la Grande fit signe à l'abbé Vermond,il suivit la gamine jusqu'à la bibliothèque immense qui servait de sa de classe aux petits princes d'Autriche.

-Dauphine,je suis enchanté de vous connaître,dit-il en s'abstenant de se présenter,selon l'étiquette.

Connaissant le code de cette dernière par coeur,la jeune fille lui demanda précisément qui il était et d'où il venait en allemand.Ce que l'abbé ne saisit pas,c'est qu'elle n'avait rien compris de ses précédent dires.Comme il ne connaissait rien à cette langue germanique,il s'abaissa à la hauteur de l'enfant et lui dit plus lentement,enfreignant les règles:

-Je suis l'abbé Vermond.Votre précepteur.
Comme le visage de la Dauphine s'illuminait d'un sourire moqueur,il cru avoir dire quelque chose de travers.Mais au contraire,elle répondit dans un piètre français.

-Cher professeur,la seule chose qui m'intéresse est de savoir comment est le Dauphin.personne n'a encore voulu me le dire.Faites-moi une leçon à ce sujet et je vous écouterai.

Le chantage commençait.Mais le jeune abbé était loin d'être un rigide religieux.C'est de bon coeur qu'il accepta,se rassurant en songeant que sa jeune élève était déjà éprise du prince de France sans le connaître.

-Louis a maintenant seize ans,Dauphine.C'est un grand blond plutôt timide mais on dit qu'il a un grand coeur et qu'il est très doux.Sa compagnie est toujours appréciée mais il aime beaucoup la solitude.Il est assez habile de ses mains et reçoit des cours d'artisanat spécialisé.Il n'aime pas trop la violence et prône la paix.

Le petit coeur de la princesse s'emballa,son esprit se représentant cet adolescent qu'elle avait vu sur les portraits.

-Croyez-vous qu'il m'aimera? demanda-t-elle au religieux pris de court.

-Mais...Certainement,Dauphine.Seulement,pour être Reine de France,il faut connaître son pays aussi bien que son époux.C'est pourquoi je suis ici.Acceptez-vous maintenant d'être attentive à mes cours?

Pensive,la petite Maria Antonia hocha la tête.

-Oh oui...murmura-t-elle en songeant à nouveau à Roméo et Juliette.Apprenez-moi tout afin que je le séduise et l'épate.
___________________________

Le mariage eut lieu d'abord symboliquement.Lorsque quelques mois plus tard on dût envoyer l'Archiduchesse à la frontière française,c'est avec grande fierté que la Grande l'avait emmenée.
Plus de Maria Antonia.L'Autrichienne que les français avaient tant critiquée commençait à s'arrondir.Son corps d'enfant prenait des formes.Petites,certes,mais dans des vêtements d'adulte,elles avaient tout leur charme.La jeune fille contrôlait chacun de ses mouvement,avait encore rehaussé son port de tête et parlait le français sans difficultés.Elle connaissait sur le bout des doigts l'histoire et la géographie du pays qui allait l'adopter et s’enorgueillissait de pouvoir suivre des conversations de Vermond.Lorsqu'elle passa la porte symbolique de frontière,tous ses vêtements lui furent retirés.Elle dit adieu à ses gouvernantes qui avaient été pour elle comme des mères et aussi au petit Mops,son carlin et seule compagnie à Schönbrunn.
Elle fut entièrement mise à nu derrière un paravent devant des femmes françaises qui se lançaient des regards amusés ou équivoques.Lorsqu'on lui passa un corset rigide,elle fut surprise d'être traitée de cette manière ridicule.Elle n'avait que quatorze ans.L'âge de Juliette.On la vêtit d'une robe à cerceaux et paniers couverte d'or et de broderie.Enfin,on lui passa une perruque immaculée en vogue à l'époque.On la maquilla et lui colla une mouche sur la gorge .Lorsque la jeune fille s'entrevit dans un miroir,elle était méconnaissable.Elle était Marie-Antoinette.
La première rencontre avec Louis XV fut une grand soulagement pour la jeune autrichienne sur sol inconnu.Elle se jeta dans les bras de ce royal grand-père.Elle n'eut pas de mal à reconnaître le portrait qu'elle avait tant de fois examiné depuis sa petite enfance.Louis Auguste était un garçon de dix-sept ans encore menu et mal à l'aise dans son corps d'adulte.Aussi,lorsqu'il marmonna à la jeune femme un mot de bienvenue,elle l'embrassa sur les deux joues et lui saisit la main comme s'il s'agissait d'un vieil ami.Après tout,elle avait l'impression de le connaître depuis le temps.
Marie-Antoinette sentait le regard des jeunes aristocrates la dévorer.Mais elle devinait aussi les yeux des vieilles courtisanes défraîchies sur cette arrivante jeune et exotique qui serait de la concurrence.Et surtout,elle sentait les critiques.Elle se doutait de chaque piques et de chaque remarques.Mais elle s'efforçait d'être forte,tout en regardant si l'abbé Vermond suivait le cortège dans les couloir de Versailles.
Le palais était extrêmement différent de Schönbrunn et surtout bien plus luxueux.Les mentalités étaient rigides et prétentieuses.Mais le principal était le mariage qu'elle avait tant attendu.On la fit entrer dans l'immense chapelle,vêtue d'or et de crème,d’innombrables fleurs dans ses cheveux montés en poufs par un coiffeur dit "Léonard".

Le soir que la jeune fille avait tant désiré ne fut pas à la hauteur de ses espérances.Louis et elle se dévêtirent devant les nobles qui fermèrent ensuite les rideaux du lit,attendant dans la rigole.Le jeune dauphin s'était allongé en robe de chambre aux côtés de la frêle enfant.Pendant qu'elle le fixait amoureusement de ses yeux saphirs,il contemplait le plafond.

-Louis? demanda alors Marie-Antoinette.Ne m'aimez-vous point?

Se tournant alors vers elle,comme déjà lassé de cette épouse après un jour seulement,il ferma les yeux et s'endormit pour éviter la question.
Les jours passèrent à Versailles sans que jamais il ne la pris.La Grande demandait des rapports à ses contacts français et à sa fille qui lui avoua cette non-consommation.Marie-Antoinette vit aussi sous ses yeux encore innocents des choses abominables que seul Versailles connaissait.Aussi,voyant une prostituée vicieuse faire la pluie et le beau temps,elle se décida de ne jamais la fréquenter et de ne pas lui adresser la parole.Et pourtant,Marie-Thérèse la somma de ne pas fâcher le roi ni le Dauphin.C'est pourquoi,un jour,elle lui dit :

-Il y a bien du monde aujourd'hui à Versailles.

Cette petite phrase avait suffit à consolider l'alliance entre l'Autriche et la France.Mais Louis s’obstinait à ne pas vouloir prendre Marie-Antoinette.Il y avait aussi cette Duchesse de Noailles ou "Madame Etiquette" qui rappelait les dernières joies enfantines de Marie à l'ordre.
_____________________________
Même si le peuple les avaient acclamé lors de leur entrée officielle dans Paris,Marie-Antoinette fut chamboulée par la mort de Louis XV.Devenir reine à son tour la mit sans dessus dessous.La jeune femme qu'elle était devenue se sentait inapte à régner.Et surtout,elle s'ennuyait de Louis Auguste.En fait,il l'aimait bien.Mais il n'avait pas hérité du goût de l'amour de son grand-père.Il était pour l'autrichienne plus un bon ami qu'un époux.Et à Versailles,les mauvaises langues recommencèrent à discuter sur la non consommation du mariage.Où était l'héritier au trône qu'Antoinette devait fournir?Soit le roi et elle étaient stupides,soit trop innocents.

Lorsque Gabrielle de Polignac débarqua à la Cour,la reine changea.Elle abandonna ses idées autrichiennes et se consacra entièrement aux frivolités.Son coiffeur et sa modiste venaient de Paris presque chaque jour et elle commandait sans cesse des produit luxueux.A Versailles,elle était une icône de la mode.Mais dans les rues de Paris,on se raillait de ses poufs ridicules et si haut qu'elle ne passait les portes.
Gabrielle était douce et gentille avec elle.Elle la conseillait au mieux et Marie-Antoinette lui confiait tout.Elle en fit sa première dame de compagnie,se disant qu'elle aimerait qu'elle soit gouvernante de ses enfants.
Un jour,elle lui confia ses crainte à ce propos.La Polignac toujours de bon humeur lui assura que si le souverain ne faisait rien,il fallait le rendre jaloux ou le prendre de force.Aussi,tout en expliquant à la reine rougissante des scènes burlesques qui avaient autrefois eues lieu à la Cour,elle dégrafait son corsage.Les baisers que Marie-Antoinette échangea avec elle la réconfortaient.Elles étaient désormais seules contre tous mais s'en contrefichaient.

-Tu vois,lui dit un jour la Polignac après l'avoir étreinte,il te faudrait un amant qui te gâte.

-As-tu déjà été attirée par une femme à ce point?Ne me laisse jamais tomber...répondit la souveraine.

Lorsque le Roi apprit ces ébats homosexuels,il se mit à choyer plus Marie en lui offrant le Trianon.Il voulait bien faire mais il l'éloigna plus encore.Elle y invitait ses amis et amies intimes.Un jour,la Polignac débarqua flanquée d'un officier suédois.Ce fut le coup de foudre.Marie-Antoinette sut que cet  homme était son Roméo,celui qu'elle attendait depuis toujours.Il se nommait Axel de Fersen.Ses yeux noirs étaient si profonds ! Et son sourire en coin narguait la jeune femme.
Recevoir l'amour d'une reine ne peut se refuser.Mais recevoir l'amour d'une femme aussi belle et aimante que Marie,c'était une chance incommensurable aux yeux d'Axel qui continuait à avoir d'autres maîtresses.Il faisait sensation à la Cour,c'était un honneur de partager le même amant que la souveraine.Marie-Antoinette,elle,fermait les yeux.Elle l'aimait aveuglément et passionnément,prête à des multiples idioties libertines pour lui.Lorsqu'il s'absentait,elle avait toujours Gabrielle pour la réconforter.

Et enfin,un jour,le roi se décida.Il avait tant attendu que son épouse s'était contentée ailleurs.Peut-être enfin ouvrait-il les yeux.Il conçut avec Marie-Antoinette la belle petite Marie-Thérèse.Les années passait et les enfants se suivaient.Il y eu un garçon,le dauphin.Et puis un autre,Louis-Charles.Et puis,en 1787,alors qu'elle venait d'accoucher de son quatrième bébé,Marie-Antoinette fit venir une seconde gouvernante pour ses petits anges.Charlotte de Dijon était une remarquable jeune fille qu'elle considérait comme sa petite soeur à qui elle pouvait tout dire.Quant à Polignac,la nommer gouvernante n'était qu'un prétexte pour passer du temps avec elle.Marie-Antoinette était cependant bonne et conservait au fond d'elle un coeur en Autriche.






Ton prénom ou pseudoelypse. Ton âge I'm an immortal queen,bitch. Que penses-tu du forum ?Euh.Question idiote,réponse idiote. T'es arrivé là comment ?Idem Code règlementOk by Marie-Antoinette Quelque chose à rajouter,noble arrivant?Nope.

CODES BY RAINBOWSMILE
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